Le Super héros aux chats - ft Jéremy Bishop

C’était une journée plutôt comme les autres. Le soir j’étais allé faire un petit tour en ville, j’avais réussi à empêcher un vol à l’étalage sans m’étaler sur le sol. Comme c’était un petit garçon rachitique qui avait commis le crime, j’avais fini par lui acheter l’intégralité de la caisse de pomme dans laquelle il s’était servi, de la viande pour 5, quelques légumes et une glace ; j’étais d’humeur bienveillante. J’avais ensuite trainé un peu puis, me rendant compte qu’il ne se passait strictement rien, j’étais rentré. J’avais passé la nuit à jouer en ligne et mon frère est venu râler deux fois que je criais trop fort (une fois il s’est plaint qu’il n’arrivait pas à étudier et la deuxième qu’il n’arrivait pas à dormir). Bref, normal. Je me suis couché à 5h et me suis réveillé à vers midi. Normal. J’avais un rendez-vous avec un client qui voulait acheter un chat. Une fois n’est pas coutume, ça n’avait pas l’air d’être une vielle mamie solitaire où un père trop occupé par son boulot qui voulait déléguer l’occupation de son enfant à un chat. Non, cette fois c’était un jeune homme. Après un bon bol de céréales avec du lait, un passage sous la douche et je peux commencer à attendre mon client. A 14 heure donc, très à l’heure, la sonnette retenti. Je criais à la bonne de ne pas aller ouvrir et me dirigeais vers la porte. L’homme qui de trouvait derrière la porte était grand et fin. Il était accompagné d’une jeune femme pétillante. J’imaginais le speech : un jeune homme qui offrait un cadeau à sa petite amie. La chose était plus rare qu’on pourrait le croire chez moi. L’homme se présenta alors.
_ Bonjour Mr... Bishop c'est ça? Je suis Mr Foster, je vous ai appelé il y a quelques jours pour acheter un de vos chats.
_ Salut. Appelez-moi Jérem’ c’est mieux.
Comme il avait l’air d’avoir a peu près le même âge que moi, je n’hésitais pas à leur donner une accolade.
_ Venez ! Entrez !
Je m’avançais dans le hall d’entrée, les bras tendus à l’horizontale.
_ Bienvenu chez moi ! Je vais vous emmener vers les chats, puisque c’est pour ça que vous êtes là !
J’étais plutôt en forme ce jour-là, alors j’en profitais pour commenter détails que l’on pouvait en se promenant dans les couloirs, tout en expliquant le la manière dont je m’occupais de mes chats.
_ … Les chats sont dans une grande pièce qui leur ai réservé. Ils sont nourris trois fois par jour avec des quantités bien précises… Ah tiens la peinture que vous voyez là c’est le premier chat de mes parents, ils le vénéraient tellement qu’ils en ont fait un tableau, surdimensionné si vous voulez mon avis. Bref, les chats ont aussi la possibilité de sortir dehors mais ils ne peuvent pas s’enfuir grâce à la cage qui fait entre 35 et 40m²…
Nous avons fini par arriver devant la porte où se trouvaient les chats.
_ Attention attention mesdames et messieurs, voici… les chats !
Je prononçais le dernier mot en ouvrant grand la porte. C’était une salle assez riche dont l’allure faisait penser à un salon à la mode Louis XIV, ce grand roi français.
_ Vous pouvez entrer. Ah et je tiens à préciser que la déco n’est pas de moi.
Les chats étaient répartis un peu partout dans la pièce. A gauche par rapport à la porte, il y avait plusieurs chatières qui menaient à la cage extérieure (qu’on pouvait observer par la fenêtre). La cage était composée d’un lac aux allures de flaque d’eau (un tout petit lac quoi) et un grand arbre dont les plus hautes branches dépassaient de la cage. Au fond de la pièce se trouvaient deux chatte entourées de 3 et 4 chattons d’à peine 7 semaines.

hors rp:

 La jeune fille avait l’air vraiment ravie d’être là entourée de chats, alors lorsqu’elle m’a demandé de rester seule, demande appuyé par son petit copain, je ne me sentais évidemment pas de lui dire non (et puis de toute façon il y avait des caméras dans la pièce).
_ Oui, évidemment, tu peux rester, mais attention hein ! Pas de bêtises !
J’ai rigolé à ma touche d’humour. Elle avait l’air sympa et passionnée, elle ne leur ferait pas de mal ! C’est même les chats eux même qui pourrait lui faire du mal, quand on connait le caractère de certains…
_ On va aller dans le salon, si tu veux nous rejoindre c’est au bout du couloir gauche, à gauche ! Les toilettes sont juste à côté ! Il faut juste que tu fasses attention, les mères chatte peuvent être assez méchantes ! Encore fois si tu as besoin d’aide, tu sais où nous trouver !
Je me suis tourné vers le l’homme.
_ Viens je vais t’emmener, on va pouvoir discuter un peu !
Je lui ai donné une tape dans le dos et est ouvert la porte. En sortant, on a pris à gauche, marchés quelques minutes avant d’arriver au fond du couloir et ouvrir la porte de gauche.
_ Voilà mec, on va être bien ici ! La déco n’est toujours pas de moi mais au moins le canapé est confortable !
Je me suis plus ou moins affalé sur le canapé de la même époque que ceux de la pièce aux chats.
_ Viens si tu veux ! Ta petite amie va bien finir par nous rejoindre ! C’est gentil de lui offrir un chat ! Enfin, si j’ai bien compris la situation… Tu vas le lui offrir alors ?

 Matthew me donnait légèrement l’impression d’être timide. Les premiers mots qu’il m’adressa une fois dans le salon étaient sous la forme d’un vouvoiement. J’ai été un peu surpris, mais après ça, il m’a tutoyé normalement, tout allait bien. Tout allait bien sauf que… Oh merde ! La bourde ! Je suis resté comme bloqué, la bouche grande ouverte.
_ Oh merde, désolé mec ! Je savais pas j’ai… et puis j’ai… mais pourquoi j’ai pas… ?
Je me suis tapé le front. Pourquoi j’ai pas été plus observateur ? C’est débile de ma part ! C’est rare que je sois aussi gêné. J’ai regardé Matthew dans les yeux puis j’ai explosé de rire, me moquant de moi-même.
_ Ah, j’me trouve drôle des fois ! Mais tu sais quoi : pour me faire pardonner j’te fais une remise de 50% sur le cadeau de ta sœur !
Je lui ai donné un coup de coude amical accompagné d’un clin d’œil.
_ Je sais qu’ils sont cher mes chats mais c’est l’une des dernières volontés de ma mère.
Je me suis levé, me tenant bien droit et prenant une voix proche de celle de ma vielle mère (une voix chevrotante et aigue)
_ « Mon chère fils, si je dois mourir un jour, je veux que tu continues mon commerce. »
J’ai levé un doigt accusateur vers mon invité.
_ « Fait attention mon enfant, chaque chat à sa valeur et la mérite. Chaque chat descend d’une ligné pure et majestueuse, il ne faut pas qu’un simple manant puisse souiller la pureté de leur ligné, seul les gens comme nous seront digne de confiance. »
Je me suis de nouveau affalé dans le canapé.
_ Par « comme nous » elle attendait les riches.
J’ai haussé les épaules.
_ Mais pour moi, tant que tu as l’air sympas et digne de confiance et que tu as au moins la moitié des sous ça me va, c’est pas comme si j’avais pas de quoi manger !  
J’ai ri en montrant la salle où nous trouvions, image même de ma richesse.
_ D’ailleurs en parlant de manger, t’a faim, tu veux quelque chose ?

 
_ De l’eau? Oui bien sûr j’ai ça! CHARLOTTE ?!?
Charlotte était la femme à tout faire de la maison, la bonne. Elle m’avait vu naître et grandir. Elle était là bien avant moi et, des fois, j’avais l’impression qu’elle serait là après moi. La bonne femme arriva en quelques secondes, comme si elle se trouvait précisément derrière la porte. Je lui ai demandé de l’eau et quelques autres boissons, pour moi et pour la jeune fille lorsqu’elle nous rejoindra.
Matthew me demanda si je n’avais pas déjà aider des gens. Je suis parti d’un grand fou rire.
_ Ah désolée, j’sais même pas pourquoi je ris comme ça ! Mais oui tu m’a surement déjà vu. J’me promène souvent en ville pour voir si j’peux pas aider. Des fois j’arrête des gens qui volent des sacs ou des magasins. Hier par exemple j’ai arrêté quelqu’un qui volait à l’étalage. Bon c’est vrais que du coup, comme c’était un gosse qui avait faim j’lui ai offert de la bouffe mais voilà, c’est ça le truc.
J’étais grave fier de ce que je faisais pour la ville. Bon, des fois ça ne marchait absolument pas et je me cassais la gueule mais d’autres fois ça marchait ! Pendant que je parlais, Charlotte étais revenue et m’avait servie, à moi et à mon invité. J’ai bu un coup de coca avant de continuer.
_ Ça fait pas tellement longtemps que je fais ça, genre à peu près depuis que j’ai goutté au redio. 4/5 ans ? Enfin depuis j’arrête pas !
Je me suis penché vers lui comme une confidence.
_ C’est pas comme si les chats me demandaient beaucoup de travail !
Je lui ai adressé un clin d’œil.
_ Enfin voilà, c’est ça ma vie, ça et les jeux ! D’ailleurs tu veux jouer ? ai-je demandé en montrant la télé et la console.

J’ai souri lorsque Matthew m’a dit qu’il ne savait pas bien jouer. Je me suis alors levé et me suis dirigé vers un mur à gauche du canapé.
_ Ici c’est le salon des invités. Mes parents invitaient leurs amis pour prendre le thé… Moi je les invite pour jouer !
J’ai ouvert le placard qui faisait pratiquement tout le mur. Il y avait de tout dans son placard. De la vaisselle, des chips, des gâteaux apéritifs, de l’alcool… Mais il y avait aussi une grande partie du placard remplie de jeux.
_ J’ai pas que ça bien sûr. La plupart sont des doubles. J’ai une salle entière au sous-sol qui est consacré aux jeux ! Mais bon, comme ta sœur peut revenir à tous moment, on va pas déserter la salle ! Il faudrait pas qu’elle se perde !
J’ai ri de bon cœur. J’aime me venter de l’immensité de ma maison, c’est mon petit vice. Chacun en a un de toute façon ! Et moi c’est ça !
_ Viens ! Tu n’as cas choisir celui que tu veux ! Il y en a bien un auquel tu as déjà joué !
En attendant que Matthew, je suis allé près du canapé et ai récupéré une télécommande. J’ai appuyé sur le bouton que j’avais trafiqué pour qu’il mette en une pression une ambiance parfaite pour le jeu. Ainsi, les volets se sont baissés et les petites lampes se sont allumées à travers la pièce en rouge, vert, bleu et jaune.

Il avait choisi Need For Speed. Ce n’est pas un des jeux que je gérais le mieux mais tant mieux pour lui, nos niveaux seraient ainsi à peu près équivalant. J’ai pris le jeu, l’ai inséré et la partie pouvait commencer ! Les voitures allaient à fond, nous aussi, je m’éclatais comme un digue et j’espère que Matt aussi. A la fin de la première partie, j’étais contant, j’avais gagné. J’étais tellement dans mon trip que j’ai sauté sur le canapé ! Deuxième partie, j’étais tout aussi dans le trip, mais je crois que Matt avait pris la main et je me suis fait battre à plat de couture ! J’en suis resté bouche bée ! Quand j’ai repris mes esprits, j’ai félicité mon invité.
_ Bravo mec ! Franchement chapeau ! Tu m’avais pas dit que tu ne jouais pas beaucoup ?
Je lui ai fait un clin d’œil amical. Je m’apprêtais à démarrer une autre partie quand trois petits coups ont résonné en provenance de la porte.
_ Ouais j’arrive !
Je me suis levé et ai ouvert la porte.  

La petite boule de poils gigotait dans tous les sens, elle ne rêvait visiblement que d’une chose, c’est de se faufiler entre les pieds du canapé. J’ai fait entrer la jeune fille dans la salle avant de tendre les bras pour prendre le chaton. Je l’ai tourné un peu dans tous les sens, vérifiant ce qu’il fallait d’une main experte (bon, ces connaissances avaient plutôt tendance à m’exaspérer mais elles restaient utiles).
_ Mâle, fils de la chatte Sakura, 2 mois et demi, plutôt espiègle mais reste un chat assez tranquille et en retrait par rapport à ces frères et soeurs. Je l’ai appelé Sangoku à la base, mais si tu y tiens tant que ça tu peux effectivement le changer.
J’ai rendu la petite bestiole à sa future propriétaire.
_ C’est un Bengal pure race. Les plus chères de cette race sont à 30 000. Les prix que mes parents avaient fixés pour les petits de Sakura étaient de 10 000.
J’ai fait un clin d’œil à Matthew.
_ Alors, que les négociations commencent !!!
Dans ma tête, je savais que je ne pouvais pas descendre en dessus de 1000 mais je ne les lui laisserais pas du premier coup ! Il faudra qu’il se batte ! Je trépignais d’avance : avec ce genre de clients, les négociations étaient souvent palpitantes !

Petit 1:

Petit 2:

Bah dit donc… Le Matt, il n’était pas très fort en négociations ! Il me proposait directement un prix que je pouvais totalement accepter sans même le baisser ! Moi qui pensais que je pourrais m’amuser un peux…
_ Mmmmm tu…
Mais je n’us pas le temps de finir. Le chaton se mis à se comporter bizarrement, finissant même par tomber au sol. Etonné, j’ai cherché à m’en approché quand… quand… Je me suis frotté les yeux, plusieurs fois. Je veux bien que les redios modifiaient pas mal de choses dans ce monde, mais je dois avouer que ça, je ne m’y étais pas attendu. Je suis resté pantois, jusqu’à ce que l’homme bizarre décide de s’envoler avec l’animal. Mon premier réflexe fut de prendre un bonbon red que j’avais dans un tiroir et me suis précipité vers la porte que j'ai maintenu fermé. Les volets avaient été fermés pour que nous puisons jouer, le voleur de poils à poil ne pourrait donc pas s’échapper de la pièce.
_ Mais en fait t’est coincé là… tu peux pas partir.
A vrais dire j’avais presque de la peine pour se voleur nu qui n’avait pas super bien préparé son coup…
_ CHARLOTTE ! Appelez la police je vous prie !
De toute façon, comme étaient les choses, j’aurais largement le temps d’attraper et attacher le voleur avant que la police ne débarque.

Comment caractériser une telle situation? Quarte humains dont un entièrement nu et un chaton dans une pièce aux volets fermés… Ça porte à confusion tout de même… J’entendis la voix chevrotante de Charlotte crier qu’elle appelait la police à l’instant et qu’ils ne tarderaient pas à arriver. Bien. Enfin presque.
L’homme à poil sans poils disparus en entendant les paroles de ma bonne. Je savais que ça ne changerait pas énormément de choses à la situation mais il est vrai que cela compliquait les choses en ce qui concerne la dissociation entre lui et Sangoku…. Heu je veux dire Chatty bien sûr… Bref le chaton quoi !
J’ai jeté un coup d’œil vers mes invités. C’est dommage que tout cela se passe maintenant… La demoiselle Karen avait l’air plutôt choquée et j’en fus triste pour elle qui était juste venue dans le but d’adopter un chat. Matthew vient me rejoindre près de la porte.
_ Le plus dur ne va sûrement pas être de l’attraper…
Je me suis alors servi de mon redio pour supprimer la gravité pour le chaton qui était déjà en train de se diriger vers le dessous du canapé. Il s’envola donc vers le haut plafond et s’arrêta à près de deux mettre au-dessus du sol et de nos têtes, les pattes battant furieusement l'air pour se libérer et fuir.
_ Le plus dur va être de faire sortir ce gugusse de la peau de ce pauvre chat… J’espère pour lui qu’il n’aura pas de souvenirs de l’intrusion de ce mec et de son vol plané, j’suis pas sûr que ça lui plairait… Bon… Si non quelqu’un à une idée pour faire sortir le type de là ou en reste comme ça à attendre la police ?
Je me suis adossé tranquillement contre la porte, réfléchissant à une manière correcte d’arranger les choses. Certes je ne voulais pas faire de mal, mais je voyais pas totalement l’intérêt de faire du mal à cet homme qui avait pas tout à fait l’air bien dans sa tête. J’ai haussé les épaules.
_ Au pire on a cas attendre la police…
J’ai pointé mon doigt vers le chaton au-dessus de ma tête.
_ J’peux rester à peu près dix minutes comme ça.  

hors rp:

Descendre la température du chat ? Je ne savais pas trop si c’était une bonne idée… N’y avait-il pas d’autres moyens de faire réagir l’homme intérieur, ne valait-il pas mieux attendre la police ? Les chats comme les humains avaient une température corporelle élevée, des animaux à sang chaud… J’ai réfléchi un peu. Peut-être que l’homme à l’intérieur ressentirait le froid plus fortement, peux être qu’il ne le supporterait pas, peut-être… Bon, cessons les « peut-être », essayons.
J’ai pris le chaton dans mes mains. Elles formaient un étau serré autour du torse et des épaules de la bestiole qui gigotait dans tous les sens. Cette position me permettait de ne pas recevoir trop de griffures tout en maintenant l’animal correctement. J’ai tendu les bras vers Matthew.
_ A toi de jouer ! J’espère que tu maitrise mec, j’ai pas trop envie d’avoir un glaçon entre les mains après…
Mais alors que je tenais la bête, son hombre se fit plus grand et l’homme apparut.
_ Ah, t’est gentil comme ça il y aura pas besoin de faire trop effet sur le chat.
Avant que quelqu’un réagisse, j’ai fourré le chaton entre les mains de Matthew et ai bondi sur le dos nu de ce charmant monsieur.
_ J’te tiens !
J’avais mes bras et mes jambes croisées autour de lui, ces bras étaient immobilisés en même temps que tout le haut de son corps. Voulant se libérer, il s’est jeté au sol. Évidemment, c’est moi qui me suis pris le sol, mais je ne lâchais pas. En y repensant, la scène devait être assez drôle à voir !

J’étais soulagé lorsque la police est arrivée. Malgré le fait que l’homme s’était résigné et ne bougeait plus, je dois bien avouer que c’était une position très inconfortable et… Bon il faut pas se le cacher, c’était extrêmement gênant !
Quand ils sont enfin partis, je me suis affalé par terre, observant Matthew qui s’étonnaient de notre aventure.
_ Ouais, j’m’y attendais pas non plus mais que veux-tu, les épopées héroïques ne viennent que vers moi !
J’ai souri pour accentuer les effets de ma blague et ai observé la petite bête. Au bout d’un moment, je me suis levé pour prendre un verre d’eau et remonter les volets qui étaient restés fermés.
_ Un peu de lumière c’est pas beau ça !?
En m’approchant de Karen, j’ai entendu les ronronnements du chaton, qui ne faisaient que confirmer ce que disait Matthew, ces deux-là allaient certainement bien s’entendre. Je me suis contenté de hocher la tête tout en regardant le nouveau couple. Une pointe de jalousie me piqua mais je n’y fis pas attention. J’aime pas les chats de toute façon !!
Après cela, Matthew me donna l’argent et se prépara à partir.
_ Ca été un plaisir de vous rencontrer en tout cas ! Si vous avez un problème n’hésitez pas à venir me voir.
Après un clin d’œil vers Karen, je me suis dirigé vers la porte.
_ Je vous raccompagne à l’entrée.
Nous avons traversé la maison et sommes dit au revoir.
Ça avait été une bien belle journée, riche en émotion. Et j’étais vraiment contant que de nouveaux liens aient étés créées aujourd’hui.